Marie entrainée par Rasp, traversa la rue puis pénétra dans la maison où se trouvaient normalement leurs vêtements.
Se trouvant nez à nez avec Has et Milane, fort occupés au demeurant, l'un à astiquer une poêle et l'autre à maltraiter un bouquet.
La jeune femme leur sourit, se dirigea vers le balcon, en ouvrit les portes, les passa... Un silence... Puis des jurons et Marie fit son retour dans la pièce, jettant un regard desespéré à Rasp.
Ils sont plus là...lui dit-elle d'une voix blanche.